Ce mois s'est passé avec la vitesse d'une cigarette.
Pas que j'eusse beaucoup fumé.
Je regarde le mégot de mon mois et j'en suis juste heureuse.

Le retour à la vie urbaine me semble virtuel, et je ne sais plus quoi faire pour remplir mes journée.
Je n'ai plus de gosses à occuper, plus de jeu à preparer, plus rien de précis et de motivant à faire.

Alors je repense à tous ce que j'ai vécu, et mon coeur bat à la vitesse d'un swing.